Lavernne vit dans un monastère abandonné, où elle promène son âme en peine sur le sentier que lui montre les pierres tombales, un violon toujours à la main, l’air absent.
Lavernne marche seule, désemparé d’avoir perdu celui que son cœur aime à la folie. Au milieu de la foret de roses et de ronces, elle s’avance toujours un peu plus dans la solitude.
Lavernne a offert son cœur à un ange…
Elle adorait contempler ces yeux pierreux sous la lumière mourante d’une lampe…
…un ange de pierre idyllique.